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« Avec Jhodi, nous voulons cultiver les plantes médicinale comme le faisaient nos ancêtres. Nous ne croyons pas à la médecine chimique. Parfois, les gens payent de grosses sommes pour être soigné sans que cela ne fonctionne. Nous, nous soignons nos patients qu’avec les herbes de la vallée, c’est efficace et c’est gratuit ! Après, si ça ne marche pas, nous pouvons toujours leur conseiller d’essayer la médecine du docteur. »

Balmann Jhackri

« Les Jhackri sont nombreux à Lugum, mais il n’y a que Balmann qui reste suffisamment sérieux dans son apprentissage.
J’ai bien peur que lorsque mon âme partira, tous les « silko salstra » (longs mantras de guérison) disparaitront avec moi.
C’est pourquoi je veux continuer à connaître mieux encore les plantes. Je veux les cultiver comme les ancêtres le faisaient. Je veux les répertorier dans un livre pour que les plantes qui guérissent soient connues de tous. On ne sait jamais, peut être que la nouvelle génération pourra vraiment travailler  grâce à ça… »

Jhodi Jhackri

« Ma fille me demande de poursuivre l’école l’année prochaine à Dang. Mais je n’ai pas d’argent pour cela. Alors je lui ai dit : si tu en as, vas-y ! Je suis trop fatigué et les soins me prennent trop de temps…

Comment pourrais-je trouver de l’argent pour lui payer des études ? »

Jhodi Jhackri

« J’ai été choisi par les esprits il y a 34 ans déjà. Mon père m’a offert son savoir que j’essaye de transmettre à mon tour à mes apprentis. »

Jhodi Jhackri

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